Chers cons tribuables, vous avez payé plus de 40 000 dollars pour doter la Sûreté du Québec d’un nouvel insigne insignifiant dont le but est de créer un sentiment d’appartenance chez nos policiers. Je veux bien, mais deux orignaux visiblement en rut qui n’ont pas croisé de femelles depuis un an représentent-ils vraiment les membres de la Sûreté du Québec?
Si tel est le cas, les policiers pourront désormais « caller» une contravention. Durant la pause, ne vous étonnez pas de voir des agents brouter tranquillement le long des autoroutes. Ils pourront également encorner des criminels ou encore les rouer de coup de sabot, pour changer de la matraque!
Le nouvel insigne donnera lieu à des situations cocasses. Imaginez la scène suivante : un agent intercepte un chasseur qui roule trop vite. Pendant qu’il s’approche du véhicule, la tête décapitée d’un orignal, symbole de son insigne, le regarde avec ses yeux morts en lui tirant la langue! Un peu surréaliste, vous ne trouvez pas?
La bonne nouvelle c’est que, lorsque vous verrez ce panneau
Vous saurez que vous approchez d’une zone où un policier de la Sûreté du Québec vous surveille avec son radar.
«Le journalisme civique vise à fournir aux gens des possibilités d'intervention afin de les amener à agir, et encourager l'interactivité entre les journalistes et les citoyens. Il cherche à créer un dialogue avec les lecteurs, au lieu de se borner à transmettre les informations en sens unique et à inonder le public de données, comme cela se passe si souvent dans le journalisme traditionnel.»
— Jan Schaffer, directeur du Pew Center For Civic Journalism
03 avril 2006
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