«Le journalisme civique vise à fournir aux gens des possibilités d'intervention afin de les amener à agir, et encourager l'interactivité entre les journalistes et les citoyens. Il cherche à créer un dialogue avec les lecteurs, au lieu de se borner à transmettre les informations en sens unique et à inonder le public de données, comme cela se passe si souvent dans le journalisme traditionnel.»


— Jan Schaffer, directeur du Pew Center For Civic Journalism

29 mai 2007

Une image vaut mille mots

Pour les lecteurs qui s’intéressent au dossier de La Rolland et plus particulièrement à la manie des poursuites dont sont atteints certains administrateurs de la Ville de Sainte-Adèle, je vous propose le dernier billet de M. Veilleux du carnet Rollandgate.

Il est parvenu, grâce à une image simple, à résumer la situation que son entreprise vit actuellement. Un très beau travail de synthèse métaphorique.

11 commentaires:

Anonyme a dit...

Interessant, reste a savoir si nos adminstrateurs vontfinalement comprendre.

Anonyme a dit...

Normalement quand cela arrive, on quitte immédiatement le restaurant et on n'y revient jamais!
Puisque selon, Monsieur veilleux, le bail n'est pas respecté pourquoi ne quitte-t-il pas?

Jean-Pierre St-Germain

Anonyme a dit...

M. Pierrot

Étrange façon de voir le développement économique de notre région.

Avez vous des enfants? j'aimerais que les miens travaillent ici dans notre région et non être obligé comme moi de m'exiler pendant 40 ans vers Montréal

Je félicite M. Veilleux de rester ici.

Anonyme a dit...

Ghislaine.

Pierrot parle de la situation de Maerix envers le proprietaire de l'édifice, pas de tes enfants ou les notres. Pour avoir une discussion intelligente il faut résister de faire des liens émotionnels.

J'ajouterai que si on avait les même opporuntité ici qu'a Montréal, on sera aussi grand (et cher et sale) que le Montréal. On ne peut pas l'avoir des deux façons!

Maurice

Anonyme a dit...

Méfions-nous des gens qui sans cesse se complaisent dans le rôle de "victime" et rejettent sur les autres (les "bourreaux")la responsabilité de leurs malheurs. Ils aiment parler de leurs émotions, de leurs enfants, etc.
Ils devraient utiliser leurs énergies pour trouver des solutions à leurs problémes.
Le problème de Maerix est un probléme d'affaires qui selon moi demande des solutions d'affaires et non des recours en justice ou des pleurs et des blâmes sans cesse répétés de part et d'autre.
A mon humble opinion, ni l'administration municipale ni Maerix ne souhaitent un règlement à l'amiable, les deux parties voulant gagner à tout prix. En passant, mon fils unique travaille dans la région.
Je l'ai déjà dit, ce serait bien triste si Maerix devait partir mais ce ne serait pas la fin du monde, on se rappelle que Mont-Rolland a survécu à la fermeture de la Rolland qui employait quelques 200 personnes vers 1990.

Jean-Pierre St-Germain

André Bérard a dit...

@ Ghislaine

Voilà une belle attitude! Bravo! Le véritable enjeu de la Rolland est relié à l'avenir économique de notre région et ne se réduit pas à une simple chicane. Dans l'état actuel des choses, l'Adélois naît à Sainte-Adèle, travaille à l'extérieur et revient mourir à Sainte-Adèle. Les jeunes doivent s'exiler pour trouver un travail convenable. Un projet comme La Rolland permet de limiter l'hémorragie.

@ Maurice

Pour une fois, je ne suis pas d'accord avec vous. On ne peut quand même pas rejeter tous les projets sous prétexte que l'on est un village. Je comprends et je partage votre désir de conserver notre saveur, notre couleur locale, mais nous devons également nous soucier du développement (pas nécessairement en quantité, mais surtout en qualité). Des parcs d'affaires comme celui de la Rolland créer des emplois de bonne qualité et stimulent les activités économiques non polluantes. Ce qui est en soi est une richesse.

@ Pierrot

Vous revenez sans cesse avec la notion de victime et de survivance. Là n'est pas l'enjeu. M. Veilleux n'a pas besoin de Sainte-Adèle pour assurer le succès de son entreprise. Ce qu'il tente de faire, c'est de dénoncer l'incompétence de certains acteurs dans ce dossier et leur incapacité à promouvoir et à soutenir les projets prometteurs pour la Ville. Les vraies victimes sont les Adélois qui voient leurs taxes dilapidées par des novices en gestion de parc de haute technologie. Plutôt que de soutenir que nous survivrons à une deuxième fermeture, ne serait-il pas plus positif d'essayer de comprendre pourquoi ça ne fonctionne pas et pourquoi les entreprises veulent quitter à la fin de leurs baux? Je préfère vivre dans une région qui vit grâce à ses succès que dans une région qui survit à ses échecs.

Anonyme a dit...

Pierrot, effectivemement lorsque je commande une pizza et qu'elle n'est pas bonne, je ne recommande jamais de cette place. Cependant lorsque vous passez une commande pour 3650 pizzas c'est une autre histoire...

André comprend très bien les enjeux, je vous invite à venir me rencontrer à la RollandGate ou à me rejoindre au 450-229-6777.

Le point majeur que vous oubliez dans votre analyse de la situation est que la pizza a été commandée d'un restaurant qui a été financé à même votre argent et celle des contribuables adélois.

Normalement, les gens aiment bien que leur investissement rapporte...

Sans rancune, j'ai hâte de vous serrer la pince !!!!

Anonyme a dit...

André,
Malgré tout le respect et l'estime que j'ai pour vous, les "plaignards" comme Maerix, j'ai de la difficulté à les appuyer.
Monsieur Veilleux,
J'ai déjà tenté de vous rejoindre mais après quelques réponses du genre "Votre appel est important pour nous, veuillez laisser un message et nous vous rappellerons dès que possible" j'ai abandonné.
L'avenir nous dira qui partira et qui restera.

Jean-Pierre St-Germain

Anonyme a dit...

Pierrot,

Je me plains aussi du tuyau d'égout qui déverse de la merde dans la rivière! Avez-vous aussi de la difficulté à m'appuyer lorsque ce genre de pratique est effectué par certains mêmes administrateurs que la RollandGate?

Pierrot, regarde la différence entre se plaindre et dénoncer une situation, vous comprendrez...

En passant, je doute de votre honnêteté lorsque vous dites que vous avez tenté de me rejoindre... Nous n'avons pas de système téléphonique du genre « votre appel est important pour nous...»

Laissez-moi vos coordonnées et je vais vous contacter!

eric@maerix.com

André Bérard a dit...

@ Pierrot et Éric

Je vous laisse régler ça entre vous. Pour ma part, j'estime que j'ai fait mon travail en rencontrant M. Veilleux et les autres locataires du parc. J'ai pu constater et même palper le mécontentement de tous les locataires. M. Veilleux est un battant qui s'insurge devant le gaspillage et le mensonge et qui n'hésite pas à les dénoncer haut et fort. Ce qui n'est pas le cas des autres locataires qui tiennent le même langage que lui, mais à l'abri des coulisses

Comment reconnaître quelqu'un qui dit la vérité? Lorsque tout le monde tente de le faire taire, de le discréditer ou se liguent contre lui. Pensez-y!

J'ai souvent appelé chez Mærix et je confirme qu'il n'existe aucun message disant «votre appel est important pour nous».

Quand toutes les lignes sont occupées, vous tombez sur message, comme c'est le cas dans plusieurs petites et moyennes entreprises. Si vous laissez un message, ils vous rappelleront.

J'ai beaucoup de respect pour M. Veilleux ainsi que pour Pierrot. Mais je ne peux forcer le deuxième à rencontrer le premier. En ce qui me concerne, le dossier est clos

Anonyme a dit...

C'est sûrement ça, les lignes ont dûes être occupées.
Quant à Monsieur Veilleux, je n'ai aucune raison de croire qu'il n'a pas en mains tous les documents et tous les dossiers pour justifier sa position. J'imagine qu'à la ville aussi on a toutes les preuves qu'on a raison.
Je suis loin d'être avocat mais j'ai appris qu'il est très rare qu'un côté soit tout blanc et l'autre tout noir. L'avenir nous fournira peut-être des réponses.
Pour ma part, je n'ai aucune envie de rencontrer quelqu'un qui "doute de mon honnêteté".
Comme André, considérons l'incident comme clos.

Jean-Pierre St-Germain