Près de 2500 astronomes se réuniront à Prague lors de la 26e assemblée générale de l’Union astronomique internationale. L’objectif de la rencontre : établir un consensus sur la définition officielle de ce qu’est une planète. Dommage que Jean Charest ne fasse pas partie des conférenciers invités. Vivant sur sa propre planète où tout va bien, il doit avoir une bonne idée de ce qui définit ce type de corps céleste. Selon les spécialistes, la planète de Jean Charest serait du type PPP (petite planète privée).
Qualifié par certains d’étoile filante, le premier ministre invite tous les Québécois à faire un vœu.
3 commentaires:
J'aime bien votre expression PPP (petite planète privée). Humoristique et réaliste à la fois.
À vrai dire, en ce qui me concerne, la planète qu'occupe M. Harper, issue de la fusion des astéroïdes Manning et Day, m'inquiète davantage que celle de M. Charest.
Dans cette planète que j'identifierai PPC (petite planète conservatrice) je ne reconnais plus la tolérance, la compassion et l'ouverture d'antan.
Cette PCC me semble être en perpétuelle éclipse de soleil. Tout devient sombre, froid et inanimé.
Serait-ce deux planètes sans noyaux? Deux planètes ayant si peu de pouvoir d'attraction qu'elle laisse fuir vers le gouffre de l'espace tout ce qui s'est développé jusqu'à aujourd'hui?
AB
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