«Le journalisme civique vise à fournir aux gens des possibilités d'intervention afin de les amener à agir, et encourager l'interactivité entre les journalistes et les citoyens. Il cherche à créer un dialogue avec les lecteurs, au lieu de se borner à transmettre les informations en sens unique et à inonder le public de données, comme cela se passe si souvent dans le journalisme traditionnel.»


— Jan Schaffer, directeur du Pew Center For Civic Journalism

06 octobre 2006

L'affaire La Rolland

Un ancien locataire du parc d’affaires adélois et cofondateur de l’entreprise Mærix a publié sur son propre carnet un billet relatant son histoire. Maxime Tremblay, qui s’est livré en entrevue lors du travail préliminaire d’enquête, a accepté d’ajouter sa voix à celle des autres locataires insatisfaits. Vous pouvez lire son billet ICI

4 commentaires:

Anonyme a dit...

les commentaires de maxime n'ajoute rien de plus mais viens confirme les trois points deja enonce sur le carnet de luc

1 - une gangue de fonctionaires incompetemt

2- une batisse en mavais etat

3- un locataire qui ne paye pas son loyer

le temp est venu pour une entrevu avec les authorites afin de voir leurs commentaires
l'autre cote de la medaille

André Bérard a dit...

Les commentaires de la corporation ont été recueillis lors d'une entrevue réalisée dans le cadre de l'article paru dans le journal Accès. Vous pouvez les trouver dans le paragraphe « position des décideurs ». Cependant, je dois vous signaler que selon l'aveu même de M. Mongeau, d'autres locataires ne payent pas leur loyer, pour des raisons similaires. Parler des loyers en souffrance, c'est aussi attirer l'attention sur les problèmes de gestion du parc, puisque c'est la raison qui explique le dépôt en fidéicommis de l'argent des loyers. De plus, le non-paiement des loyers n'a aucun lien avec les problèmes de gestion du parc.

Je rappelle également que le maire et son directeur général ne voulaient pas aborder le sujet des litiges durant cette entrevue.

AB

Anonyme a dit...

meme si le maire et son directeur général ne voulaient pas aborder le sujet des litiges durant l'entrevue je pense que maintenant apres tout ca il auront changer d'idee et seront probablement plus receptif a donner une entrevue complete pour se vider le coeur

Anonyme a dit...

c'est pas dans les journaux qu'ils doivent régler leur compte c'est avec les locataires, c'est leur job de trouver un terrain d'entente.